Richard Cacchione | Coprésident de la campagne 100 millions d’idées

Richard Cacchione,
coprésident de la campagne 100 millions d'idées

Montréalais jusqu’au bout des ongles, Richard Cacchione est né dans le quartier Centre-Sud et a grandi dans Rosemont-La Petite-Patrie. C’est sans surprise que c’est au cœur de sa ville qu’il a choisi de faire ses études universitaires en sciences comptables. « Je me suis félicité de mon choix. L’UQAM avait l’un des meilleurs scores pour la réussite des examens comptables professionnels, et m’a permis de faire mes études de soir et de côtoyer d’excellents professeurs », explique-t-il.

Contrôleur, trésorier, vice-président finance, Richard Cacchione a occupé une panoplie de postes comptables au début de sa carrière, jusqu’à ce qu’on lui propose de devenir vice-président des opérations pour Aéroports de Montréal. Un nouveau défi qui a révélé ses talents de gestionnaire. « Quand le président a quitté, je l’ai remplacé, se rappelle-t-il. Ça a été une expérience fantastique. »

Après un retour en finance de quelques années, il est recruté par Hydro-Québec comme président de la division Équipement, puis devient président de la division Production jusqu’à sa retraite en 2018. « C’étaient de très belles années chez Hydro-Québec. C’est agréable de regarder l’avenir quand il est souriant», souligne Richard Cacchione.

Maintenant que son horaire le lui permet, Richard Cacchione choisit de redonner à son alma mater en s’impliquant comme coprésident du cabinet de la campagne majeure 100 millions d’idées. : « Grâce à la campagne, je redécouvre l’UQAM et vois les aspects que je ne voyais pas quand j’étais plus jeune. J’aime son côté créatif, le fait qu’elle remette les choses en question. Je pense qu’on a besoin d’une université qui est plus provocatrice, qui permet aux gens d’aller plus loin. »

Au terme de la campagne majeure, il espère dépasser l’objectif de 100 millions de dollars : « Je suis sûr que l’UQAM a plus de 100 millions d’idées, et j’aimerais que les dollars suivent! », s’exclame-t-il. Il espère surtout que la campagne permettra d’appuyer les étudiants et les petits entrepreneurs qui sont formés entre les murs de l’Université. C’est pour qu’ils aient les mêmes opportunités que lui qu’il a choisi de contribuer au fonds de développement de l’École des sciences de la gestion. « L’UQAM m’a permis d’être un bon comptable, un homme d’affaires avisé, un dirigeant d’entreprise. Tout a commencé là. »

Publié le 28 février 2019

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