La Clinique internationale de défense des droits humains de l’UQAM (CIDDHU) contribue, depuis maintenant 10 ans, au développement et à l’accroissement de l’expertise en matière de litige et de plaidoyer international dans tous les domaines des droits humains allant des droits des migrants en passant par les droits des femmes, la protection contre la violence sexuelle, les droits relatifs aux peuples autochtones, la lutte contre la torture et la protection des ressources naturelles. Les membres de l’équipe de la Clinique travaillent en étroite collaboration avec leurs partenaires internationaux afin de former de fervents défenseurs des droits humains tout en s’assurant qu’ils possèdent les outils nécessaires pour être en mesure d’aborder les multiples facettes de ce travail.
Chaque trimestre, des équipes d’étudiantes et d’étudiants réalisent des mandats réels donnés par des organisations de défense des droits de l’homme provenant de l’Europe, de l’Afrique, des Amériques et de l’Asie. Les travaux sont supervisés par des avocats spécialistes dans le domaine qui agissent bénévolement. Ainsi, la CIDDHU est impliquée dans de nombreux litiges devant des tribunaux internationaux tels que la Cour européenne des droits de l’homme et la Commission interaméricaine des droits de l’homme. De plus, elle participe à l’élaboration de procédures devant d’autres instances internationales. Par exemple, elle a soumis un rapport parallèle sur la violence faite aux femmes au Comité des Nations Unies pour l’élimination de toutes les formes de discrimination envers les femmes.
À travers ses actions, la CIDDHU sensibilise les étudiantes et les étudiants aux enjeux actuels en matière de protection des droits humains et offre un soutien aux individus victimes de quelconque violation de leurs droits. Le bilan des 10 dernières années démontre que leur travail a un impact réel et qu’elle fait une différence dans la défense des droits humains sur la scène internationale. À titre d’exemple, la CIDDHU a gagné deux litiges devant la Cour interaméricaine des droits de l’homme comme représentante des victimes et a contribué à un changement législatif pour une meilleure protection des femmes contre la violence conjugale à Saint-Vincent-les-Grenadines.
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