Chaire de recherche en prévention des allergies et dysfonctions entériques

Alors que la population canadienne présente l’un des taux d’affection aux maladies inflammatoires de l’intestin parmi les plus élevés au monde, une équipe de chercheurs de l’UQAM, dirigée par le professeur Mircea A. Mateescu, s’affaire à développer un traitement naturel pour ces maladies et les allergies alimentaires. Leur idée ? Proposer un traitement alternatif, basé sur des enzymes végétales.

La Chaire de recherche en prévention des allergies et dysfonctions entériques a vu le jour en novembre 2017, grâce au soutien de la Fondation Courtois. Cette dernière lui a permis d’offrir des bourses aux étudiantschercheurs, d’acheter matériaux et équipements et de planifier à long terme le projet, dont les recherches ont été amorcées il y a 10 ans. Pour le professeur Mateescu, « l’appui de la Fondation Courtois est essentiel et permet de faire avancer la science, mais également d’améliorer la formation des six étudiants qui travaillent avec notre équipe ».

La recherche va bon train : le concept développé à la Chaire fait déjà l’objet de plus d’une dizaine de publications scientifiques et de deux brevets, qui pourront à terme améliorer les conditions de vie d’un grand nombre de personnes. «Pour la suite, on espère que notre travail contribuera à positionner l’UQAM comme un grand joueur du domaine de la santé », ajoute le professeur Mateescu.

Photo : L'équipe de la Chaire de recherche en prévention des allergies et dysfonctions entériques

Source : INTER, magazine de l'Université du Québec à Montréal, Vol. 16, no 1, printemps 2018.

 
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