Une nouvelle conseillère en communication à la Fondation de l’UQAM

La Fondation de l’UQAM est heureuse d’accueillir Pauline Motte à titre de conseillère en communication. Installée à Montréal depuis six ans, elle met désormais son expertise et sa curiosité au service de la mission philanthropique de l’Université. 

Un parcours entre arts et communication 

Avant d’arriver à la Fondation, Pauline a travaillé sur plusieurs événements d’envergure, dont le Festival du nouveau cinéma. Une expérience qui lui a permis d’être « témoin de la vitalité des acteurs du secteur culturel à Montréal ». Son parcours, à la croisée des arts et de la communication, l’a menée des études en art jusqu’à une maîtrise en commissariat d’exposition. Elle a par la suite collaboré avec différents centres d’art en France et en Belgique, avant de s’installer au Québec. 

Donner du sens à son rôle 

Ce qui l’a attirée vers la Fondation, c’est la possibilité de contribuer à des projets porteurs pour la communauté. « Travailler au développement des projets d’une université qui a une influence dans le paysage québécois, et qui a imprimé l’inconscient collectif, est très stimulant », souligne-t-elle.  

Elle insiste aussi sur l’impact concret des actions de la Fondation dans le parcours des étudiantes et étudiants, un aspect qui lui tient tout particulièrement à cœur. Permettre à l’UQAM de développer des projets novateurs qui ont un impact réel sur la société, c’est une mission dans laquelle je me reconnais complètement », explique-t-elle. 

Dans ses nouvelles fonctions, elle se dit emballée par la diversité des collaborations : « Être au cœur de l’action et travailler avec une grande variété de professionnels engagés, c’est ce qui m’enthousiasme le plus. » 

Curiosité et passions 

Animée par la volonté d’apprendre, Pauline affirme que ce qui la motive au quotidien, ce sont avant tout « les rencontres ». Ses collègues découvriront aussi qu’elle s’est découverte une passion inattendue : la couture. « En 2021, j’ai appris seule, et depuis, je n’ai plus lâché ma machine », raconte-t-elle en souriant. Elle garde également un souvenir marquant de son année passée à Buenos Aires, une expérience qui a nourri son regard sur le monde. 

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