Témoignages de nos donatrices et donateurs

Marie-Lise Julien : L’héritage familial

Marie-Lise Julien

« L'UQAM reflète cette volonté de rendre l'éducation accessible à un large public, y compris en région. C'est pour moi un honneur de m'associer à cette cause et de contribuer à créer des opportunités pour la communauté universitaire. » témoigne Me Marie-Lise Julien.  

 

Me Marie-Lise Julien, avocate au ministère de la Justice Canada depuis 2002, incarne l'esprit généreux et engagé d'une famille profondément attachée à l'éducation et au soutien communautaire. Issue d'un milieu familial où l'éducation post-secondaire était une valeur fondamentale, Marie-Lise a grandi sous l'influence bienveillante de ses parents impliqués dans les domaines de la santé. Son parcours académique a été marqué par leur encouragement constant, une tradition qu'elle-même perpétue aujourd'hui. 

« Mes parents croyaient fermement en l'éducation universitaire. », partage Marie-Lise. «Ils ont toujours suivi de près mon parcours scolaire, soulignant l'importance des études, des activités parascolaires et de l’ouverture vers les autres cultures.»  

Alors que sa mère, veuve depuis 2006, est décédée paisiblement l’année dernière, Marie-Lise a voulu trouver un sens au deuil de ses parents et une façon de transmettre leurs valeurs profondes.  La création de bourses d’étude à leur mémoire s’est alors imposée comme une évidence pour elle. 

L'UQAM représente l’université où sa mère a complété son baccalauréat en Travail social en 1985 et permettra à l'héritage de ses parents de perdurer bien au-delà de sa propre vie.  

« Cette bourse permettra à mes parents de continuer d’exister à travers les études des autres, et ce à perpétuité. Leur passion pour l'éducation aidera d'autres personnes étudiantes et méritantes à poursuivre leurs études en travail social. » 

Le choix spécifique de soutenir l'École de travail social de l'UQAM symbolise également une cause chère au cœur de Marie-Lise. « C'était une cause que ma mère affectionnait particulièrement : améliorer l'accueil des personnes immigrantes au Québec. C'est un domaine académique avec des implications directes et profondes. » 

L’objectif de la bourse de la famille de Lise-Hétu et de Claude-Julien est d’encourager les personnes à la maîtrise à l’École de travail social de l’UQAM, dont les recherches portent sur l’aide et l’accueil aux personnes immigrantes ou aux demandeurs d’asile. Elle est offerte à la mémoire de Lise Hétu (1947-2023) et Claude Julien (1933-2006), les parents de Marie-Lise. Mme Hétu,  elle-même été diplômée de l’École de travail social de l’UQAM,  a œuvré pendant 35 ans au Centre des Services sociaux de Lanaudière. 

De gauche à droite : Claude Julien, Marie-Lise Julien et Lise Hétu 

Marie-Lise trouve dans ce don planifié pour la Fondation de l’UQAM une façon de rendre hommage à ses parents tout en accomplissant un impact significatif dans la société. « Perpétuer l'amour des études et avoir un impact concret sur la vie des autres, voilà ce que je souhaite accomplir grâce à cette contribution. », exprime-t-elle avec conviction. « Je veux que leur nom et leur dévouement pour l'éducation inspirent et créent de belles histoires pour les générations futures. »  

Ce geste philantrhopique est également motivé par une volonté de voir des ajustements et des améliorations continues. « Je souhaite voir l'impact direct que ce don peut avoir. C'est une façon de garantir que ce Fonds puisse vraiment faire une différence. » 

En choisissant l'UQAM, Marie-Lise s'associe à une institution qu'elle estime être un pilier de l'accès à l'éducation au Québec. À travers ce don, Marie-Lise Julien perpétue non seulement l'héritage familial, mais elle marque également son engagement personnel envers une cause qui la touche profondément. 

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